Curnier

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Curnier
Curnier
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité CC des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Patricia Gielly
2023-2026
Code postal 26110
Code commune 26112
Démographie
Gentilé Curnierois, Curnieroises
Population
municipale
207 hab. (2021 en augmentation de 16,95 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 09″ nord, 5° 14′ 06″ est
Altitude Min. 313 m
Max. 742 m
Superficie km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nyons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives 3e circonscription de la Drôme
Localisation
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Curnier
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Curnier
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Curnier

Curnier est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Curnier est situé à 12 km de Nyons, dans la Drôme provençale.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Arpavon, Eyroles, Montaulieu, Les Pilles et Sahune.

Rose des vents Eyroles Sahune Rose des vents
Les Pilles N Sahune
O    Curnier    E
S
Montaulieu Arpavon

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le pont sur l'Eygues.

La commune est drainée l'Ennuyé et l’Eygues, qui y ont leur confluent. De nombreux ruisseaux s'y jettent, dont l'Argence, le Rieu, le Ravin de Fournas, le ruisseau des Saules et le ruisseau de Combe-Fleurie.

L'Eygues est un affluent du fleuve le Rhône.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 864 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nyons P182 »sur la commune de Nyons à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 756,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Curnier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nyons dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,6 %), forêts (31,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 148, alors qu'il était de 142 en 2015 et de 129 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 65,4 % étaient des résidences principales, 26,5 % des résidences secondaires et 8,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Curnier en 2020 en comparaison avec celle du Drôme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (26,5 %) supérieure à celle du département (8,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 58,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (62,4 % en 2015), contre 62,1 % pour le Drôme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Curnier en 2020.
Typologie Curnier[I 1] Drôme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 65,4 83,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 26,5 8,1 9,7
Logements vacants (en %) 8,1 8,5 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon le dictionnaire topographique du département de la Drôme[13], la localité a été désignée sous les noms de  :

  • 1035 : Cornierium (cartulaire de Saint-Victor, 760).
  • 1231 : Castrum de Currerio (sic) (Inventaire des dauphins, 240).
  • 1297 : Cornerii (Inventaire des dauphins, 221).
  • 1300 : Castrum Curnerii (Inventaire des dauphins, 246).
  • 1317 : Castrum de Curnierio (Valbonnais, II, 165).
  • 1319 : Apud Curnerium (Inventaire des dauphins, 248).
  • XVIIIe siècle : Corneyer et Curneyer (inventaire de la chambre des comptes).
  • 1891 : Curnier, commune du canton de Nyons.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Oppidum de l'Âge du Bronze[14].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

La seigneurie[13] :

  • Curnier était une terre du fief des barons de Mévouillon.
  • 1205 : appartient aux Arcellarii (ou Artillarii) et aux Geranz.
  • 1230 : appartient aux Ancezune.
  • 1300 : appartient aux Aynard (ou Monteynard).
  • 1331 : cédée aux dauphins en échange de la terre de Roac (ou Marcieu) dans la Mateysine.
  • 1334 : les dauphins donnent la moitié de Curnier aux Mévouillon de Lachau.
  • (non daté) : les dauphins reprennent cette moitié.
  • 1342 : les dauphins cèdent toute la terre aux princes d'Orange.
  • (non daté) : confisquée par le roi Louis XI qui la donne à son favori Imbert de Bathernay.
  • 1484 : les princes d'Orange recouvrent la terre de Curnier.
  • 1687 : la terre est engagée.
  • 1789 : M. de Raymond-Modène est le seigneur de Curnier.

XVe siècle : une crue de l'Eygues emporte le village[15].

Avant 1790, Curnier est une paroisse du diocèse de Sisteron, formant, avec celui de Sahune, une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation et bailliage du Buis, dont l'église était sous le vocable de Notre-Dame[13].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

En 1790, Curnier est compris dans le canton de Mirabel, mais depuis la réorganisation de l'an VIII, il fait partie du canton de Nyons[16].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Nyons du département de la Drôme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Nyons[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nyons et Baronnies

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Drôme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Curnier était membre de la communauté de communes du Val d'Eygues, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Baronnies en Drôme provençale, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2008 Jean Benbarek    
mars 2008 avril 2014 Claude Laget    
avril 2014 mai 2020 Catherine Nesterovich[18] DVG Fonctionnaire
mai 2020[19],[20] août 2023[21] Patrick Ledoux   Cadre retraité
Démissionnaire
octobre 2023[22] En cours
(au 30 novembre 2023)
Patricia Gielly   Agricultrice

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le village de Curnier dépend de l'académie de Grenoble.

Les écoliers se rendent à l'école publique du village, comprenant une classe de 15 élèves[23]. Les collégiens et lycéens se rendent à Nyons[24][Quand ?].

Santé[modifier | modifier le code]

Aucun professionnel de santé n'est installé sur la commune. Les services les plus proches se situent à Sainte-Jalle.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 207 habitants[Note 3], en augmentation de 16,95 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
277260264271264256227227265
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
271267280274244236252232239
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
22320220316816314014010085
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
108133145132179186209221196
2014 2019 2021 - - - - - -
184197207------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête patronale : deuxième dimanche de mai[14].
  • Fête communale : troisième dimanche de juillet[14].
  • Foire aux chiens : dimanche après le 15 août[14].

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église catholique de Curnier dépend du regroupement de paroisses de Sahune, du diocèse de Valence[28].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : lavande, oliviers, vignes, vergers, ovins, miel[14].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église.
  • Hauterville : Vestiges de l'ancien chef-lieu médiéval perché sur un interfluve : tour quadrangulaire vers les XIIe – XIIIe siècles, corps de bâtiment et porte des XIVe – XVe siècles[réf. nécessaire].
  • Église Saint-Nicolas de Curnier du XIXe siècle : oratoire, pilier percé de quatre niches cintrées[14].
  • Fontaine à bulbe et son lavoir.
  • Site du bourg face au confluent de l'Ennuyé et de l'Eygues[14].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis.

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Curnier » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Curnier - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Curnier - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Drôme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Curnier et Nyons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Nyons P182 », sur la commune de Nyons - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nyons P182 », sur la commune de Nyons - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 121.
  14. a b c d e f et g Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Curnier.
  15. Raoul Blanchard, « Déboisement et reboisement dans les Préalpes françaises du Sud », Revue de géographie alpine, t. 32, no 3,‎ , p. 344 (lire en ligne).
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « Les maires de Curnier », sur francegenweb.org (consulté le ).
  18. Curnier sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 14 novembre 2014).
  19. « Ensemble dans la continuité dévoile ses projets », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  20. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  21. « Le maire de Curnier a démissionné », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Municipales : Patricia Gielly a été élue maire : Patricia Gielly a été élue maire le 27 octobre. Elle avait assuré l’intérim suite à la démission de l’ancien maire Patrick Ledoux, le 4 août dernier », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  23. école de Curnier
  24. collège de Nyons
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Paroisse de Sahune